18 mai 2006
Puisqu'il faut bien commencer un jour...
Reçue par courriel hier matin, la niouzletter de Grafika qui annonçait le retour de l'enfant terrible/prodige de Montréal, Carlito Dalceggio. Jusqu'au 3 juin à la Galerie SAS et à l'Hôtel Gault.
Du temps où il formait les Organic Fresh Heroes avec - yiiiish, était-ce? - David Pelletier, ses créations à saveur tribale retenaient l'attention et m'ont surtout fait prendre conscience que l'art était un médium accessible à qui ne se donnait aucune limite. Mais je ne fais pas partie de ce lot, mouahaha!
Je l'admire et l'apprécie d'autant plus.
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