25 juillet 2006
Liban
Avant que je m'extirpe d'un rush sans précédent au bureau pour filer dans le Charlevoix, je vous invite à lire la dernière entrée de Steve Proulx sur son blogue de Voir. Ceux et ceuzes qui désirent entendre un autre son de cloche sur le Liban auront de quoi réfléchir. Dans une lettre à Mario Girard, de La Presse, le cinéaste Ralph Dfouni inscrit le conflit dans une perspective beaucoup plus large que celle d'un règlement de compte ou de guerre religieuse. L'auteur parle de ce que la race humaine devrait craindre avant tout: la peur. Peur de la réalité, celle qui crie que nous sommes tous dans le même bateau.
Qu'aujourd'hui c'est le Liban et demain, ce sera peut-être le Québec, mais envahi par d'autres fléaux que celui, bête, de la guerre.
Publicité
Commentaires
V
A
L